«  Ode »  à Concorde !

 

                                         Le bel oiseau blanc.

 

  Ceux qui t’aimaient, qui étaient-ils ?

Ceux qui ne pouvaient t’approcher,

Les « petits », qui, lors de tes retours d’exil

T’attendaient et venaient te saluer

Tout en te considérant, si peu !

Comme leur propriété à eux

Et étaient fiers en se disant

Que leur bel oiseau blanc,

Ambassadeur de leur pays

S’en revenait d’Amérique ici.

Non, beau Concorde tu voles encor,

Dans notre cœur, tu n’es pas mort.

 

   Alain               23/06/03

 

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